mercredi 3 février 2010

LORSQUE J’ÉTAIS PLUS JEUNE


Dans quelques semaines, je vais avoir soixante ans ine cha Allah.[1]
Il y a de nombreuses années, j’ai écrit que « pour moi, les imposteurs seront toujours des imposteurs. Quels que soient les noms donnés à leurs activités, et quels que soient les discours utilisés, j’ai toujours su les voir,[2] partout, malgré leurs masques. […] Ils veulent, par des mots trahis, dépouillés, brouillés, souillés, nous faire croire que malgré leur avilissement, il leur arrive de se ressaisir, de se reprendre, de s’indigner, alors que tout ce qui les intéresse c’est ce qui est appelé le pouvoir. Et pour l’atteindre ou le garder, ils sont prêts à toutes les compromissions, à tous les subterfuges. Les cadavres qui ont fait éclore toutes leurs richesses matérielles, entretenues par la sueur et le sang des survivants, ne les empêchent pas de disserter sur ce qu’ils appellent l’humanité. Conne-science universelle oblige ou comme ils disent, conscience universelle. »
Ces lignes sont, comme dirait quelqu’un, d’une « brûlante actualité. »
Louange à Allah qui nous sort des ténèbres à la Lumière.[3]


BOUAZZA

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