Il se sert un énième verre d’alcool et continue de déblatérer :
─ Je connais l’islam.[1] Je le connais bien. Très bien même.
Mon grand père a vécu dans les colonies[2] et a beaucoup fait pour défendre les femmes que cette religion opprime.
Le pauvre, il n’aurait jamais imaginé qu’aujourd’hui, en métropole, les femmes musulmanes, dites françaises, continuent à avoir besoin de nous pour être protégées et libérées de l’islam.
─ La musulmane qui s’occupe de mes enfants lorsque je travaille, refuse de les accompagner à la piscine et je n’arrive même pas à la convaincre de rejeter le voile islamique, ce signe d’aliénation. Je ne désespère pas de la libérer un jour renchérit l’épouse et hôte[3] de la soirée, assise à côté de l’ami de la famille avec lequel elle ne rate aucune occasion de baiser.
Ami de la famille que le mari aime inviter avec son épouse, une nymphomane fière d'exhiber des attributs pour mettre des bites en érection. Trés ouverte, elle ne met pas de slip et aime s'asseoir les jambes écartées et offrir à la contemplation, en attendant la suite, son vagin et sa toison pubienne. Elle tient à son privilège de faire partie de la société du cul libéré, du sexe sans frontières et voudrait que toutes les femmes soient épanouies comme elle.
Une autre bouteille est entamée et les échanges se poursuivent :
─ Moi dans l’établissement ZEP[4] où j’enseigne, lorsque ma petite culotte dépasse de mon pantalon taille basse, les élèves, qui sont presque tous musulmans et dits français aussi, me traitent de pute[5] sur les murs du collège.
Parmi les filles des HLM[6] cependant, certaines voient en moi la femme moderne, un modèle pour les femmes et c’est vachement valorisant.
─ Je t’ai déjà dit que si des délinquants continuent de t’emmerder, je peux intervenir pour que tu changes d’établissement.
─ Je suis capable de me débrouiller toute seule et je n’ai besoin de personne.
Tu sais très bien que les filles ont besoin de moi pour les défendre et que les collègues[7] de cet établissement ne me déplaisent pas.
Les « défenseurs » de ce type et d’autres du même genre ont existé, existent et existeront toujours ici-bas.[8]
BOUAZZA
─ Je connais l’islam.[1] Je le connais bien. Très bien même.
Mon grand père a vécu dans les colonies[2] et a beaucoup fait pour défendre les femmes que cette religion opprime.
Le pauvre, il n’aurait jamais imaginé qu’aujourd’hui, en métropole, les femmes musulmanes, dites françaises, continuent à avoir besoin de nous pour être protégées et libérées de l’islam.
─ La musulmane qui s’occupe de mes enfants lorsque je travaille, refuse de les accompagner à la piscine et je n’arrive même pas à la convaincre de rejeter le voile islamique, ce signe d’aliénation. Je ne désespère pas de la libérer un jour renchérit l’épouse et hôte[3] de la soirée, assise à côté de l’ami de la famille avec lequel elle ne rate aucune occasion de baiser.
Ami de la famille que le mari aime inviter avec son épouse, une nymphomane fière d'exhiber des attributs pour mettre des bites en érection. Trés ouverte, elle ne met pas de slip et aime s'asseoir les jambes écartées et offrir à la contemplation, en attendant la suite, son vagin et sa toison pubienne. Elle tient à son privilège de faire partie de la société du cul libéré, du sexe sans frontières et voudrait que toutes les femmes soient épanouies comme elle.
Une autre bouteille est entamée et les échanges se poursuivent :
─ Moi dans l’établissement ZEP[4] où j’enseigne, lorsque ma petite culotte dépasse de mon pantalon taille basse, les élèves, qui sont presque tous musulmans et dits français aussi, me traitent de pute[5] sur les murs du collège.
Parmi les filles des HLM[6] cependant, certaines voient en moi la femme moderne, un modèle pour les femmes et c’est vachement valorisant.
─ Je t’ai déjà dit que si des délinquants continuent de t’emmerder, je peux intervenir pour que tu changes d’établissement.
─ Je suis capable de me débrouiller toute seule et je n’ai besoin de personne.
Tu sais très bien que les filles ont besoin de moi pour les défendre et que les collègues[7] de cet établissement ne me déplaisent pas.
Les « défenseurs » de ce type et d’autres du même genre ont existé, existent et existeront toujours ici-bas.[8]
BOUAZZA
[1] L’Islaam consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
[2] J’ai rappelé dans plusieurs de mes textes les crimes du colonialisme, de l’impérialo-sionisme et autres.
[3] Qui invite.
[4] Zone d’Éducation Prioritaire (instituée par le ministère de l’éducation nationale dans des quartiers de banlieue dits sensibles et qui permettent au personnel de toucher une prime. Les élèves parqués dans un établissement ZEP sont en majorité issus du processus migratoire).
[5] Se reporter à mes textes intitulés : « Enseignement », « Baisolution », « Le savant de Marseille », « Une femme ».
[6] Habitation à Loyer Modéré, ensemble de bâtiments où sont entassés des « cas » dits « sociaux » et des familles originaires des Antilles, d’Afrique du Nord et du reste de l’Afrique.
[7] Surtout un qui, à sa première participation à une soirée organisée au collège, est passé derrière elle pendant une danse endiablée, lui a mis les mains sur les hanches et a bandé en fixant le croupion offert. Il était fier du «chemin parcouru» et de sa «réussite» : tout en étant marié, il peut niquer, y compris dans les chiottes et les voitures, des collègues du corps «enseignant», mâles et femelles qui, parce qu’il « vit avec son temps », accueillent sa bite à orifices ouverts : bouches affamées, vagins boulimiques ou postérieurs insatiables.
Il arrive alors qu’un époux ait la con-firmation que son «honorable épouse» est une pute, ou qu’une épouse, «enseignante», ayant un «bon fond», con-fesse que c’est avec «les ducs à tiffes», qu’elle a appris à gérer le con-flit et à con-cilier l’amour de son con-joint et son ouverture au «sexe sans frontières».
Au plumard, il simule le plaisir en besognant bobonne qui, habituée à sucer, et à se faire tirer ailleurs, en engloutissant des queues, «sans discrimination», surtout sur le lieu de «travail», a toujours le feu au cul. En cloque, elle ignore qui est le géniteur et s’en branle.
[8] Voir :
http://raho.over-blog.com/
http://paruredelapiete.blogspot.com/
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire