Les indigènes ramassent le gibier, le rapportent et les tireurs, « touristes » venus de métropole, vérifient et se grattent les couilles pour rappeler l’image de virilité de leurs « ancêtres » colonialistes.
Autrefois, les « ancêtres » dans les colonies s’adonnaient à des « safaris » où le massacre des animaux dits « sauvages », était presque aussi excitant que celui des « sauvages » dits indigènes.
Les années passent.
Les ancêtres aussi.
Mais les « principes » du « bon vieux temps » restent.
La Résistance aussi.
Les forces de l’oppression ont installé des serviteurs dans les colonies et ont décrété « l’indépendance dans l’interdépendance ».
Ces serviteurs, dits « dirigeants » des « états souverains du tiers-monde » donnent en général satisfaction et sont heureux d’accueillir des « touristes » des métropoles, fiers de se souvenir de « jadis ».
Des parcs dits « nationaux » mis en place en exécution des ordres des employeurs, « protègent » cette fois les animaux dits « sauvages » que « menacent » les « sauvages » dits indigènes.
Ces « touristes », dans une démarche « mémorielle », tirent mais « symboliquement » (sur des tourterelles par exemple), dans un but de rappel « civilisationnel » et un souci « écologique ».
L’objectif étant, bien entendu, d’aider, comme toujours, ces contrées à se « développer » et en faire, dans ce « grand village » qu’est la « mondialisation », des « états émergeants ».[1]
Et c’est dans le même élan que ces « touristes » reprennent dans ces contrées des terres et autres pour permettre, justement, aux indigènes d’atteindre un « train de vie » digne du « progrès » que les autochtones nantis n’arrivent pas à atteindre.
Le rôle principal assigné par les employeurs aux serviteurs est de défendre par tous les moyens cette« indépendance dans l’interdépendance ».
Autrement dit, veiller à écraser la Résistance des Indigènes, ces « terroristes »,[2] « fléau » de « l’humanité »[3]
Lorsque les serviteurs montrent quelque incapacité dans ce domaine, ils sont congédiés, remplacés par d’autres et parfois, les employeurs, comme « jadis », interviennent directement pour défendre leur ordre « bienfaisant »[4] et répandre les « droits de l’homme ».[5]
Ils font semblant de ne pas comprendre pourquoi la Résistance continue et tentent de faire admettre qu'ils sont les "maîtres du monde".
Autrefois, les « ancêtres » dans les colonies s’adonnaient à des « safaris » où le massacre des animaux dits « sauvages », était presque aussi excitant que celui des « sauvages » dits indigènes.
Les années passent.
Les ancêtres aussi.
Mais les « principes » du « bon vieux temps » restent.
La Résistance aussi.
Les forces de l’oppression ont installé des serviteurs dans les colonies et ont décrété « l’indépendance dans l’interdépendance ».
Ces serviteurs, dits « dirigeants » des « états souverains du tiers-monde » donnent en général satisfaction et sont heureux d’accueillir des « touristes » des métropoles, fiers de se souvenir de « jadis ».
Des parcs dits « nationaux » mis en place en exécution des ordres des employeurs, « protègent » cette fois les animaux dits « sauvages » que « menacent » les « sauvages » dits indigènes.
Ces « touristes », dans une démarche « mémorielle », tirent mais « symboliquement » (sur des tourterelles par exemple), dans un but de rappel « civilisationnel » et un souci « écologique ».
L’objectif étant, bien entendu, d’aider, comme toujours, ces contrées à se « développer » et en faire, dans ce « grand village » qu’est la « mondialisation », des « états émergeants ».[1]
Et c’est dans le même élan que ces « touristes » reprennent dans ces contrées des terres et autres pour permettre, justement, aux indigènes d’atteindre un « train de vie » digne du « progrès » que les autochtones nantis n’arrivent pas à atteindre.
Le rôle principal assigné par les employeurs aux serviteurs est de défendre par tous les moyens cette« indépendance dans l’interdépendance ».
Autrement dit, veiller à écraser la Résistance des Indigènes, ces « terroristes »,[2] « fléau » de « l’humanité »[3]
Lorsque les serviteurs montrent quelque incapacité dans ce domaine, ils sont congédiés, remplacés par d’autres et parfois, les employeurs, comme « jadis », interviennent directement pour défendre leur ordre « bienfaisant »[4] et répandre les « droits de l’homme ».[5]
Ils font semblant de ne pas comprendre pourquoi la Résistance continue et tentent de faire admettre qu'ils sont les "maîtres du monde".
BOUAZZA
[1] Ces « touristes » rapportent des devises que les serviteurs de « l’indépendance dans l’interdépendance » se font une joie de mettre, avec tout ce qu’ils peuvent piller, sur les comptes bancaires que leurs employeurs garantissent dans les métropoles.
[2] Particulièrement dangereux lorsqu’ils se réclament de l’islam et « tout ça » et qu’ils « menacent les métropoles elles-mêmes et se manifestent en Ex-Union Soviétique, en Chine et jusqu’aux USA (United States of America).
[3] Toutes les armes et autres moyens de destruction sont disponibles à cet effet.
[4] Avec la participation des « organisations humanitaires ».
[5] Les dernières destructions en Palestine, en Iraq, en Tchétchénie ou en Afghanistan et ailleurs préparent celles de l’Iran et autres en continuant l’oppression et le massacre des populations partout.
Voir :
http://raho.over-blog.com/
http://paruredelapiete.blogspot.com/
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