mardi 5 janvier 2010

CHOISIR SON CON

Le mythe s’effondre mais ses partisans, « spécialistes en vagins » tiennent le coup.
Ils rejettent l’étude du « King’s College » de Londres, selon laquelle le « point G » n’existe pas.
Les ébats[1] sont intenses.
Les femmes « libérées » se prêtent à tout pour con-vaincre[2] que leur vagin dispose de ce point.
Les femmes « soumises » ─ et tout le monde sait où elles se trouvent ─ n’en parlent pas car leur vagin n’a pas le droit de s’exprimer.
Le point en question se rapporte à la zone érogène, soulignent ceux qui ont choisi le con[3] des femmes « libérées ». Une zone sur la paroi antérieure du vagin, une structure interne du clitoris qui, lorsqu’elle est activée, permet de déclencher un orgasme vaginal d’une fabuleuse intensité.
C’est le sexologue allemand Ernst Gräfenberg qui s’est penché sur la question en 1950 et a lié le plaisir féminin à ce point.
Et voilà que maintenant, une institution « libérée » se permet de dire, avec ceux qui ont choisi l’autre con,[4] que le plaisir n’est pas dans le point.
Les « spécialistes en vagins » qui tiennent à leur beurre montent à la charge pour baver sur les hommes qui ne connaissent rien au clitoris et à la révolution sexuelle ─ et tout le monde sait où ils se trouvent ─ et qui sont une menace pour le plaisir féminin.
Et savez-vous où se trouve le Yémen[5] qui menace les États-Unis d’Amérique ?[6]

BOUAZZA

[1] Les débats.
[2] Convaincre.
[3] Le « con » en parlé dit « populaire », désigne le vagin, le sexe de la femme.
[4] Le camp.
[5] Yamane.
[6] United States of America (USA).
Voir:
http://raho.over-blog.com/
http://paruredelapiete.blogspot.com/

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