vendredi 8 janvier 2010

J’AVAIS SEIZE ANS

J’ai reçu, de l’autre côté de la mer blanche intermédiaire,[1] une lettre accompagnée d’une photo.
Une de mes sœurs, de deux ans mon aînée, m’écrit entres autres :
« J’avais cette photo de mon frère aimé dans mon album.
J’ai fait un agrandissement.
Nous ne reviendrons jamais à cet âge.
Nous voilà au troisième âge et nous vivons encore.
Qu’Allah nous protège. »
J’ai pleuré en lui répondant et j’ai encore les larmes aux yeux en écrivant ces mots.
Qu’Allah fasse qu’elles soient des larmes de Miséricorde.[2]

BOUAZZA

[1] Albahr alabyad almoutawassite, la mer méditerranée.
[2] Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com

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